Biographie (FR)

Oliver Rych est né en France à la fin des trente glorieuses dans une famille peu connue. Il débute un parcours d’études classiques dans la petite ville de banlieue qui l’a presque vu naître, avant de rejoindre un collège puis un lycée de Paris, la grande capitale, où il trouve un enseignement lui permettant de poursuivre les études musicales qu’il avait commencées à l’âge de huit ans. Quelques années plus tard, il entre dans l’enseignement supérieur à Lyon, puis à Paris, la grande capitale, enchaînant deux cursus afin d’obtenir assez de diplômes pour être à la fois professeur d’enseignement artistique et concertiste professionnel.

Il assiste comme toute sa génération à l’émergence du WEB et rencontre, sous son pseudonyme Johnny, une communauté d’indicibles crétins réunis pour la gloire du comic-strip Lapin, avec lesquels il participe à la création de la maison d’édition du même nom. Pour nourrir un fan-club de plus en plus empli d’âmes désespérant trouver encore leur chemin spirituel dans les arcanes virtuelles, il devient le rédacteur en chef à vie d’un webzine populaire pour lequel il écrit plus d’une centaine d’articles et cinq romans-feuilletons : Politiquement correct, La Boulangère, Le Dictaphone, Driiiiing ! et Le Collectionneur. Il participe à de nombreux jeux littéraires n’ayant pour seul objectif que de réunir des auteurs amateurs autour d’un même plaisir d’écrire et publie sur son site personnel son premier roman : Vue sur le cimetière. Il reprend alors des études littéraires dans une grande université de Paris, la grande capitale. Il y étudie la littérature médiévale, classique, romantique et contemporaine, revient au latin, à l’allemand, à l’anglais, aux exercices de grammaire et aux commentaires composés puis s’engage dans un programme de recherche autour d’une auteure oubliée jusqu’à obtenir un Master 2 de lettres modernes.

En 2013, il ouvre un blog consacré à l’écriture et travaille depuis à l’élaboration de projets littéraires avec, parmi eux, L’Artisanat furieux, le premier roman virtuel de l’humanité, Marc a tout pris, Tristan pleure et #GRP.

En 2017, il édite et publie son premier livre, Vue sur le cimetière suivi de Vortex temporum, salué par la Cybercommunauté.

En 2018, c’est la sortie de L’intimité n’a plus de lieu possible, premier roman poétique, traduit dans le monde entier.

En 2020, c’est au tour du roman chromatique, Les déracinés sociaux n’ont que faire de briller, dont dix mille exemplaires partent dès la première semaine.

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